Cependant, aucune information n’est disponible sur les conditions de sa libération .
Depuis son enlèvement par des individus lourdement armés, les activités sont paralysées tant au siège de la DGI à Port-au-Prince que dans les villes de province pour exiger la libération du directeur. Ce mouvement est un succès puisque le chef de service va reprendre son poste.
Par Witson Beaujour