Le Sporting CP, qui a terminé deuxième du championnat portugais la saison dernière, ferait tout son possible pour ramener Cristiano Ronaldo à la maison.

La fin du mercato approche, et de nombreux grands joueurs attendent toujours de savoir où ils passeront la nuit du 1er au 2 septembre. C’est le cas de Cristiano Ronaldo, qui est toujours en guerre avec Manchester United. Les deux parties semblent désormais irréconciliables, alors que le Portugais est catégorique : il veut aller dans un club qui joue la Ligue des champions. Il a également de nombreux doutes sur la capacité de la direction à construire une équipe capable de rivaliser avec les autres grandes équipes du championnat.

Ce transfert arrive à un très mauvais moment, car selon les médias anglais, le vestiaire de Manchester United est divisé, et le début de saison a été catastrophique, avec deux défaites en deux matchs de Premier League. Cependant, ces dernières heures, des publications britanniques ont rapporté que les Red Devils allaient laisser partir leur joueur.

Mais la question reste posée : qui accueillerait la superstar portugaise ?
Un défi qui lui permettrait de participer à la Ligue des champions.
La superstar portugaise a un gros salaire, et bien qu’il ait réalisé une saison correcte (18 buts en 30 matchs de Premier League), il n’est plus le grand CR7 du Real Madrid.

On parle de plusieurs intérêts ces derniers temps, de Chelsea à Naples, en passant par l’Atletico Madrid, la Roma et même le Bayern. Et selon nos informations, le Sporting Portugal fait pression pour sa signature. Le directeur sportif du club lisboète, Hugo Viana, travaille en coulisses pour convaincre le Portugais de revenir dans le club de sa ville natale, qu’il a quitté en 2003 pour rejoindre Manchester United.

L’opération est difficile pour le club portugais, mais il a des atouts dans sa manche. La possibilité de jouer la Ligue des champions, la compétition préférée du joueur de 37 ans, ou le fait qu’il n’a pas d’autres options sérieuses pour son avenir à l’heure où nous écrivons ces lignes. Mais comme on dit, pas de risque, pas de gain ?

Par Witson Beaujour

AU PIED DU MERCATO

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